Dispositifs graphiques d’autogouvernance decentralisée

TerraForma Corp : Une Exploration de l'IA et de l'Habitabilité Planétaire

TerraForma Corp est un projet de recherche, mené de manière collective au sein du DIU EurArTec (ComUE Université Paris Lumières), explorant la relation entre l’intelligence artificielle et l’habitabilité de notre planète.

Son identité multiple est basée sur la compilation de gestes visuels et de mots-clés proposés par chacun de ses membres, dans le but d’activer un mécanisme participatif d’expression subjective.

L’ensemble des données en constante évolution permet de recréer des symboles par l’imbrication de formes, leur déplacement et l’interprétation de mots-clés, gérés par l’intelligence artificielle de TerraForma Corp.

Objectifs de TerraForma Corp

  1. Explorer l’Interrelation entre l’IA et l’Habitabilité Planétaire : Analyser comment l’intelligence artificielle peut contribuer à la compréhension et à l’amélioration des conditions de vie sur notre planète.
  2. Créer une Identité Multiple et Participative : Développer une identité visuelle et conceptuelle basée sur la contribution collective des membres du projet, intégrant gestes visuels et mots-clés.
  3. Activer un Mécanisme d’Expression Subjective : Encourager l’expression individuelle et subjective à travers un processus participatif, facilitant l’engagement et la collaboration.
  4. Utiliser des Données Évolutives pour la Création Symbolique : Permettre à l’IA de TerraForma Corp de recréer des symboles en temps réel, en interprétant et en intégrant des formes et des mots-clés de manière dynamique.
  5. Promouvoir l’Innovation et la Recherche Collaborative : Favoriser une approche collaborative et innovante dans la recherche, en impliquant divers experts et participants pour enrichir le projet.

Pourquoi le COVID-19 a-t-il eu besoin d’un graphiste ?

Pourquoi le COVID-19 a-t-il eu besoin d'un graphiste ?

Le coronavirus est invisible, mais on lui a donné une identité visuelle.

Le monde est au point mort en raison d’une pandémie sans précédent. En effet, le début de cette décennie est vécu avec l’expérience mondiale partagée du confinement. Cette expérience a la particularité, parmi beaucoup d’autres, d’être surmontée (ou bien, d’être survécu) grâce à l’infrastructure technologique de communication dont nous disposons et qui a démontré une fonctionnalité et une acceptation qui ne laissent aucune place au doute.

De ce fait, l’un des messages qui circule le plus souvent dans ce réseau de communication est l’insistance sur l’application des règles de confinement. Le tourbillon de ces messages multimédias va des rapports officiels aux conseils pratiques, en passant par les nouvelles, les mèmes, les statistiques et, bien sûr, l’exposition d’expériences personnelles.

Tout cela est dit, répété, entendu et vu ; mais la cause du problème est invisible. Le COVID-19 ne peut pas être vu dans la rue, il n’apparaît pas devant nos yeux. Il s’agit d’une menace directe pour le corps dont nous ne pouvons apparemment pas nous défendre parce que nous ne pouvons pas le voir. Toutefois, ce n’est pas une limitation pour lui donner un visage. En fait, nous avons la capacité de transformer n’importe quoi en une image perceptible : une pensée, une émotion, un sentiment et, bien sûr, un monde microscopique.

De nombreux designs pour représenter le virus ont proliféré, basés sur l’apparence obtenue grâce à des microscopes électroniques. Ainsi, chacun peut voir qui est l’ennemi mortel : une sphère avec une série de protubérances réparties sur toute sa surface.

Bien que les différences stylistiques et formelles soient évidentes dans chaque cas de représentation, une base reconnaissable est répétée. On pourrait dire que grâce à ces images, le COVID-19 a une physionomie déjà connue de tous.

Pour que les messages envoyés soient efficaces, il a été nécessaire de le présenter devant nos yeux afin d’évoquer directement toute la série d’appréciations qui tournent autour de nos problèmes actuels de santé publique.

En somme, en lui donnant une image, on lui donne un corps ; et en ayant un corps visible, notre corps se sent plus sûr pour pouvoir lutter contre lui. Ainsi, le COVID-19 s’est « viralisé » à deux occasions : en tant qu’agent infectieux qui attaque le corps humain et en tant qu’image qui est présentée à plusieurs reprises devant le regard.

Compilation de représentations graphiques de COVID-19 qui ont été utilisées par différentes organisations à travers le monde.

Couverture: Image au microscope électronique d’un échantillon provenant du premier cas américain de COVID-19. Hannah A Bullock; Azaibi Tamin. https://phil.cdc.gov/Details.aspx?pid=23354

Selfies no more. Le défi du portrait dans la peinture de Manuel Sosa.

Selfies no more. Le défi du portrait dans la peinture de Manuel Sosa.

Réflexion sur les distorsions chromatiques dans les portraits picturaux réalisés par l’artiste mexicain Manuel Sosa. Je propose l’existence d’une tension entre l’identification du sujet représenté avec une altération visuelle, et le contexte contemporain de la manipulation numérique des images, en ayant par conséquent un contrepoint dans la représentation des visages…

Autorretrato. Óleo sobre tela. 70 x 50 cm. 2012

Esther

Esther. Encausto sobre madera. 30 x 30 cm. 2013

Izquierda: El Frijol. Óleo sobre tela. 60 x 40 cm. 2010
Derecha: Tito. Óleo sobre tela. 60 x 40 cm. 2010

Serie Iones Cromáticos. Óleo sobre tela. 150 x 150 cm c/u. 2012

Body and Image in Hector Zamora’s Installation. Paracaidista Av. Revolucion 1608 bis

Body and Image in Hector Zamora’s installation "Paracaidista Av. Revolucion 1608 bis"

The article delivers an interpretation of the installation Paracaidista Av. Revolución 1608 bis, by Mexican artist Héctor Zamora, built on the façade of the Carrillo Gil Art Museum in 2004, using its urban setting as a reference point. The contrast between image and body is emphasized by the conjunction of the façade’s placement and the use of the installation as a dwelling. The façade is understood as an area destined primarily for the image, while the dwelling was acti-vated as a visual interruption of the perceptive conditioning of the city, which offers surfaces of this sort for publicity uses. The article suggeststhat the intervention represents an interference by means of the body thatdwells, revealing a vertical emptiness which cannot be escaped, whether as image or as fiction.

Cuerpo e imagen en la instalación Paracaidista Av. Revolución1608 bis de Héctor Zamora

Este artículo hace una interpretación de la instalación Paracaidista Av. Revolución 1608 bis, del artista mexicano Héctor Zamora, realizada al exterior del edificio del Museo de Arte Carrillo Gil en 2004, con su contexto urbano como punto de partida. En éste se señala el contraste entre imagen y cuerpo mediante la conjugación entre el emplazamiento de la fachada del edificio y el uso de la instalación como vivienda; se considera la fachada como una zona destinada principalmente a la imagen, de manera que el habitar se activó como una interrupción visual al condicionamiento perceptivo de la urbe, que encuentra este tipo de superficies ocupadas por la publicidad. Se propone así que la intervención realiza una interferencia por medio del cuerpo que habita, y señala un vacío vertical al que no es capaz de sustraerse como imagen ni como ficción.

Corps et image dans l'installation "Paracaidista Av. Revolución1608 bis" par Héctor Zamora

Cet article interprète l’installation de l’artiste mexicain Héctor Zamora « Paracaidista Av. Revolución 1608 bis », réalisée à l’extérieur du Musée d’art Carrillo Gil en 2004, prenant son contexte urbain comme point de départ. Dans celui-ci, le contraste entre l’image et le corps est mis en évidence par la conjugaison entre l’emplacement de la façade du bâtiment et l’utilisation de l’installation comme habitation ; la façade est considérée comme une zone destinée principalement à l’image, de sorte que l’habitation a été activée comme une interruption visuelle du conditionnement perceptif de la ville, qui trouve ce type de surface occupée par la publicité. Il est donc proposé que l’intervention fait une interférence à travers le corps qui habite en signalant un vide vertical (une terrain vague) qui n’est pas capable d’être enlevé comme une image ni comme une fiction.

The urban surface of an expanded gallery

The urban surface of an expanded gallery

The project called Sonora 128 consisted of placing images by internationally renowned artists on the surface of a billboard located in the Condesa neighborhood of Mexico City. The Mexican gallery Kurimanzutto rented since May 2016 a billboard for two years to rotate the selected images every three months. The objective of the project was to go out into the public space as a mechanism to update the strategy that gave it fame: the implementation of activities in an offshoring manner. Bree Zucker, curator of the project, conceives her proposal as a « gigantography » that when she went out into the public space established »… a 2D space dealing with 3D themes » turning the billboard into a « single wall » gallery.

La superficie urbana de una galería expandida

El proyecto llamado Sonora 128 consistió en la colocación de imágenes realizadas por artistas renombrados internacionalmente sobre la superficie de un billboard ubicado en la colonia Condesa de la Ciudad de México. La galería mexicana Kurimanzutto rentó desde mayo del 2016 el anuncio espectacular por dos años para rotar las imágenes seleccionadas cada tres meses. El objetivo del proyecto era salir al espacio público como mecanismo para actualizar la estrategia que le dio fama: la realización de actividades de manera deslocalizada. Bree Zucker, curadora del proyecto, concibió su propuesta como una “gigantografía” que al salir al espacio público establecía “… un espacio 2D lidiando con temas del 3D” convirtiendo el anuncio espectacular en una galería “de una sola pared”.

La surface urbaine d'une galerie élargie

Le projet Sonora 128 consistait à placer des images d’artistes de renommée internationale sur la surface d’un panneau d’affichage situé dans le quartier Condesa de Mexico. La galerie mexicaine Kurimanzutto a loué depuis mai 2016 le panneau d’affichage pour deux ans d’une rotation des images sélectionnées tous les trois mois. L’objectif du projet était d’aller dans l’espace public en tant que mécanisme de mise à jour de la stratégie qui lui a donné sa renommée : la mise en œuvre d’activités de manière délocalisée. Bree Zucker, commissaire du projet, conçoit sa proposition comme une « gigantographie » qui, lorsqu’elle est sortie dans l’espace public, a établi »…. un espace 2D traitant de thèmes 3D » transformant le panneau d’affichage en une galerie « d’un seul mur ».

From harlequin to terrorist. The illusion of success in the work of mexican artist Oscar Cueto.

From harlequin to terrorist

The illusion of success in the work of mexican artist Oscar Cueto.

Analysis of the early work of Mexican artist Oscar Cueto, in the framework of the « consumer society » described by sociologist Zygmunt Bauman.

De arlequín a terrorista.

La ilusión del éxito en la obra del artista mexicano Oscar Cueto.

Análisis de la obra temprana del artista mexicano Oscar Cueto, en el marco de la « sociedad de consumidores » descrita por el sociólogo Zygmunt Bauman.

De l'arlequin au terroriste.

L’illusion du succès dans l’œuvre de l’artiste mexicain Oscar Cueto.

Analyse des premières œuvres de l’artiste mexicain Oscar Cueto, dans le cadre de la « société de consommation » décrite par le sociologue Zygmunt Bauman.

Mortal advertising

Mortal advertising

The notion of death in the J. García López Funeral Home’s advertising campaigns.

By taking up the function of communication, in the sense described by Niklas Luhmann in his systems theory, advertising is a modality focused on transmitting novelty. This text analyze the 2013 J. García López Funeral Home’s advertising campaigns carried out by the Mexican agency Ganem Group to propose the possibility of a limit. What happens when advertising (the communication of the new) talks about death?

Publicité mortelle

La notion de mort dans les campagnes publicitaires de la Maison Funéraire J. García López.

La publicité est une modalité axée sur la transmission de la nouveauté, selon la théorie des systèmes de Niklas Luhmann. Dans ce texte, j’analyse les campagnes publicitaires de la maison funéraire J. García López menées en 2013 par l’agence mexicaine Ganem Group pour évoquer la possibilité d’une limite : que se passe-t-il lorsque la publicité (communication du nouveau et de ce qui naît) parle de mort ?

Publicidad Mortal

La noción de muerte en las campañas publicitarias de la funeraria J. García López.

Retomando la función de la comunicación, en el sentido descrito por Niklas Luhmann en su Teoría de Sistemas, la publicidad es una modalidad abocada en transmitir la novedad. En este texto analizo las campañas publicitarias del 2013 de la funeraria J. García López realizadas por la agencia mexicana Ganem Group para plantear la posibilidad de un límite ¿Qué sucede cuando la publicidad (la comunicación de lo nuevo y naciente) habla sobre la muerte?

La conmemoración del nacimiento de Friedrich Nietzsche fue tema para la imagen principal del motor de búsqueda de Google el 15 de octubre del 2013 en Francia, Alemania, Reino Unido, China y México, entre otros países más.

Si ya es bien conocido que Google suele utilizar eventos y efemérides para transformar su propio logotipo, el caso de Nietzsche me llamó la atención por la complejidad que, de asumir un reto como este, implicaría hacer una rápida aproximación visual al pensamiento del filósofo alemán.

En este doodle aparecen en blanco las primeras letras del nombre del buscador, las últimas en negro y, en medio, una estilización geométrica del perfil de Nietzsche, con su cerebro descubierto y refulgente. El alto contraste empleado parecía darnos cuenta de un pensador un tanto oscuro y trágico. No pude evitar preguntarme en el cómo podría resultar un garabato similar basado en su famosa frase “Dios a muerto”; o bien, basado en la idea nietzscheana en la que se plantea que todo discurso pretendidamente verdadero es sólo un juego del lenguaje alejado de la posibilidad de representar la realidad.

Por esto, para Nietzsche, la realidad es inalcanzable, a la vez que Dios puede morir y, por tanto, el progreso puede morir, el arte puede morir. Se trata entonces de una pugna por el derrumbe de representaciones totalizadoras y totalizantes. El apelar a la muerte es apelar a una condición contundente para todos: la desaparición de esta realidad, la cual adquiere una dimensión más personal, e incluso íntima, cuando se piensa en la propia muerte.

Las representaciones de la realidad pueden morir para transformarse en otra cosa. La angustia por la finitud de la propia existencia es quizá uno de los motores que llevan a estos asesinatos simbólicos. Pero una vez llegado el momento, una vez que se muere después de haber hecho y deshecho, parece no quedar rastros ni pistas sobre las consecuencias de lo realizado. La muerte es un hecho indecible. Nadie puede decir qué es haber muerto.

Se habla y se dice sobre la muerte del otro. Y, aun así, muchas veces resulta difícil hablar y decir. Una manera que facilita las cosas sucede durante los días de muertos que, a través de imágenes de calaveras, colores, flores, comida y versos, la muerte adquiere un carácter lúdico que intenta acercar a su indecibilidad.

Las campañas publicitarias de la funeraria mexicana J. García López realizadas por la agencia Ganem Group durante ya varios años, se han caracterizado por presentar la muerte como posibilidad cercana a situaciones cotidianas. Inicialmente se ha utilizado el imaginario de las festividades mexicanas del día de muertos para visualizar a la empresa (ofrendas colocadas dentro de los parabuses, concursos de calaveritas a través de Twitter, carteles donde personajes históricos se muestran en forma de calaveras de azúcar). No obstante, es en las campañas más recientes donde, al dejar de lado el recurso de las tradiciones, encontramos que la publicidad, como sistema de comunicación, intenta dar un tratamiento directo a la noción de muerte.

Así, vemos que la idea de muerte pasa por un humor cínico (“Si vas a tomar y manejar anota nuestro teléfono”), al cuidado de la vida a través de la advertencia y el consejo preventivo (“Que un infarto no acorte tu vida. Haz ejercicio y vive más”), pasando por un tono dirigido a quien padece la muerte del otro (“Cuando no tienes cabeza para pensar, pensamos por ti”).

El reto de este “marketing funerario” es instrumentalizar la idea de muerte junto con sus implicaciones dolorosas y penosas. Pero una especie de indecibilidad es autoimpuesta. En este nivel no se da precisamente por la experiencia de la muerte en sí misma, sino por una dimensión moral y políticamente correcta cuyo principio es el de no herir susceptibilidades.

El atractivo, no obstante, se encuentra en las formas de enunciación y en los juegos contextuales donde se coloca el tema (por ejemplo, escenas de accidentes chuscos y estrepitosos pero sin muertos, acompañadas con la frase “No todos tienen tanta suerte”). Y aun, con hablar de la posibilidad de muerte se alcanza un momento para repensar la vida (“Lo que quiero hacer antes de morir”).

¿Cómo es entonces que se está definiendo aquí la muerte? En las diferentes versiones de estas campañas los valores empleados han sido la imprudencia, la enfermedad, los incidentes y el tiempo que queda. La muerte queda vinculada con la vida en tanto vaivén entre lo fatal y lo evitable. La muerte como la consecuencia de algo no bien hecho en la vida. Así, la vida aparece permanentemente amenazada por el descuido y la despreocupación. Son argumentos que sirven para proyectar una imagen que pasa de lo tradicionalmente lúgubre para una funeraria a una en la que existe una supuesta preocupación por el cuidado y preservación de la vida. Y aunque se trata de una preocupación dada únicamente en el nivel simbólico (porque la empresa vive, precisamente, de lo contrario), la meta es relacionar la muerte con la solución que ofrece la empresa para los que, aún en vida, deben enfrentarse a esta fatalidad.

Aunque la publicidad es un espacio donde ocurren múltiples combinaciones y juegos del lenguaje, aun no resulta sencillo decir “muérete y deja morir pero antes compra” con la misma soltura que puede decirse “compra para gozar” o “vota para vivir mejor”. La venta de rituales mortuorios, ataúdes, urnas, servicios de cremación, embalsamamiento no tiene por si misma ningún ingrediente positivo, lúdico, seductor y despreocupado que caracteriza esta modalidad de la comunicación. A decir verdad, la mayoría de las cosas que se anuncian carecen de estos ingredientes, pero en este caso se puede considerar que se acercan, justamente, a las valoraciones opuestas.

La manera de hacer aparecer la muerte de manera comercial requiere, de todas maneras, dejar en claro la sentencia negativa: la posibilidad de la muerte propia. La enunciación lúdica no está únicamente en aproximaciones graciosas, sino en las combinaciones simbólicas para decir. Y la enunciación adquiere un acento singular y atractivo cuando se trata de decir lo indecible. En la vida cotidiana la muerte siempre es la de los otros. Y en el caso subjetivo, siempre es postergable. Pero, curiosamente, la firma institucional reitera, fúnebremente, esta posibilidad. La suscribe y la subraya convenientemente.

Finalmente, los objetivos comerciales son obvios: Te vas a morir, por tanto, compra a futuro tu hueco de muerte. O, si alguien se te murió, adquiere un ritual de despedida. Esta dimensión comercial no oculta el atisbo de la angustia y la soledad que son más propias de una condición de existencia. Pero no pretende ir más allá de su superficie.

Hay en todo esto una linealidad temporal que aparece invertido. Las campañas de la funeraria apuntan reiteradamente a pensar lo que uno debe hacer antes de morir cuando lo que es comúnmente celebrado es la idea del no temer morir por las cosas que uno hace; es decir, el arrojo incuestionable hacia las pasiones y afectos sin importar las consecuencias, como afirmación irrevocable de individualidad y autodeterminación.

Es por esto que en un primer momento, las campañas de Ganem llamaron tanto la atención. Si bien no se afirma una gran muerte como en la frase nietzscheana, el acercarse a la idea de « el individuo ha muerto » con el tinte « el yo ha muerto » desde un sistema de comunicación publicitario (el cual se basa en presentar productos y servicios como algo nuevo, como algo que nace), nos lleva a pensar en la publicidad como algo muy vivo cuyo límite (muerte) aún está muy lejos de nuestros tiempos.